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Appel public du groupe AEC de St Martin-Lez-Tatinghem.

 

- Pas-de-Calais,  1er janvier  2022. -

 

 

 

 

Nous sommes quelques insoumis de terrain à nous être joints dès le départ (soit au lendemain de la déclaration de Macron en juillet [1]) aux citoyens s’élevant contre l’obligation de passe puis d’injection pour le personnel soignant, puis de passe sanitaire, en voie de devenir passe vaccinal, pour tous, y compris les enfants.

 

En cohérence avec nos convictions insoumises, nous refusons de donner notre confiance à des méga-labos dont les casiers judiciaires sont parmi les plus lourds de la planète.  Mais au contraire, en citoyens libres et responsables, nous suivons depuis toujours avec intérêt tout ce qui concerne notre santé individuelle et collective, et n’avons pas attendu l’arrivée d’un nouveau virus pour chercher à promouvoir la prévention par une alimentation et une vie saines,  n’hésitant pas pour cela à nous former depuis des années aussi auprès de scientifiques qui luttent justement contre  ces industries chimiques (génératrices de P.E, de glyphosate, de chlordécone, de faux médicaments vrais poisons lucratifs comme le médiator ou certains antalgiques),  ces conglomérats financiers opaques, qui semblent se retrouver aujourd’hui aux commandes via nos instances dirigeantes, nationales, européennes, mondiales.

 

Fidèles à la Déclaration des Droits de l’Homme, nous nous offusquons de voir foulées aux pieds nos libertés élémentaires, dont celles concernant la souveraineté de nos corps,  libertés écrites nous le pensions pour toujours dans le Code de Nuremberg, renforcées par la loi Kouchner,  comme elles l’étaient depuis l’origine de la médecine occidentale avec le Serment d’Hippocrate, le Primum non Nocere, comme la liberté de prescrire, hélas logiquement enterrés puisque la médecine est régie selon les lois d’un marché mondial devenu fou, nos corps en laboratoires expérimentaux, les soignants en exécutants.

 

Nous dénonçons aussi un détournement de la science et sa prise en otage par des idéologues qui n’ont que faire de ses principes fondamentaux, de sa méthodologie scrupuleuse, de sa pratique de la disputatio, âpre,  passionnée, sans concessions, au service de la vérité, quel qu’en soit le prix, la réfutabilité en garantie de son authenticité.  Cette science que nous défendons commence avec l’émerveillement devant la beauté de la vie, de l’humanité,  par l’observation attentive des faits, avant d’entrer dans l’analyse de chiffres qui ne disent de plus en plus souvent que ce que ceux qui les ont fait collecter ont voulu en retenir. 

Nous venons rappeler ici que les plus éminents scientifiques de notre Histoire et bienfaiteurs de l’Humanité sont aussi ceux qui étaient le plus habités par cette maxime : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Où sont aujourd’hui, aux côtés des experts officiels (qui par exemple ont successivement interdit puis obligé le port du masque, sans considération sur les effets délétères pour la vie sociale, les apprentissages …) les experts en humanité,  et les experts du quotidien ?

 

La science que nous connaissons, héritière des critiques kantiennes, est d’abord humble, consciente de ses limites, servante des peuples, les scientifiques marchant aux côtés de leurs concitoyens, non un nouveau clergé chargé de faire respecter les dogmes que des politiques autoritaires inventent sous prétexte d’Etat d’urgence. Or il y a aujourd’hui encore dans notre pays des héritiers de Pasteur, Antoine Béchamp et Claude Bernard comme de Pierre et Marie Curie, qui cherchent avec passion et abnégation des traitements, des vaccins, des conditions propices à la santé des individus comme des populations, qui subissent aussi une discrimination en moyens, en autorisations [2], privant les malades de soins efficaces, parce qu’ils prendraient un tout petit peu des bénéfices indécents des méga-firmes pharmaceutiques ? Il y a là non assistance à personnes en danger.

 

Face à toutes ces dérives, nous en appelons à l’instauration d’une démocratie sanitaire où les experts des cours de récréation, des transports en commun, des EHPAD, comme du développement psycho-social des enfants, du vivre ensemble et des besoins fondamentaux de nos anciens, au même titre que les experts en virologie et en génie génétique, soient à disposition des citoyens pour voir, comprendre, agir en peuple libre et souverain, dans le respect des convictions de chacun.

Il est temps pour cela de libérer la parole aussi au sein de nos hôpitaux, gérés par la peur pour mieux faire passer toutes les restrictions qui le mettent toujours plus à genoux, et de leur rendre les moyens nécessaires à l’exercice de leur mission.

 

Dans l’immédiat nous demandons aussi une suspension de ces campagnes massives d’injections expérimentales, sur des populations ni malades ni à risques, en particuliers sur nos enfants [3], qui sont l’avenir de l’humanité, campagnes qui se multiplient au fur et à mesure que leur prétention à soigner diminue, tandis que chacun peut observer autour de soi se multiplier crises cardiaques, AVC, hémorragies et autres pathologies inexpliquées, nourrissant de légitimes interrogations sur les effets secondaires à court, moyen et long terme.

Nous demandons également et pour les mêmes raisons un suivi de toutes les personnes ayant subi ces injections[4], et une juste protection médicale et sociale pour les victimes de ces expérimentations que nous jugeons gravement hasardeuses, le cas échéant pour leurs proches. La solidarité nationale , puisque nous sommes en guerre, nous obligerait à les traiter en victimes de guerre, non en personnes malchanceuses ayant tiré le mauvais numéro.

 

Enfin face à l’ampleur de l’attaque contre nos libertés voire contre nos santés, nous en appelons à une union des braves transpartisane, autour des principes qui hier avaient unifié la Résistance, en un temps où la science officielle était aussi devenue l’instrument d’une idéologie justifiant la haine par des arguments sanitaires, des laboratoires d’alors de sombre mémoire au service non de la vie, mais de la mort. Que cela ne se renouvelle jamais !

 

 

***

 

 

[1] Nous étions quelques uns devant l’hôpital d’Helfaut en soutien au personnel hospitalier dès le 13 juillet dernier.

 

 

[2] Que l’on regarde les parcours du combattant de laboratoires français comme Ose Immunothérapeutics, qui a mis au point un vaccin autrement prometteur que ceux qu’on nous impose actuellement : le CovepiT, ; comme l’Institut Pasteur de Lille et son suppositoire d’Octofène pourtant connu de tous, qui dû finalement renoncer, après avoir attendu 6 mois la ré-autorisation, puisque pour l’étude il fallait des personnes malades non vaccinées, ou à Xenothera et son  traitement polyclonal Xav-19, dont les 30 000 doses attendent le bon vouloir de notre ministre pour arriver enfin jusqu’aux malades hospitalisés  qui sont  pourtant à ce jour sans traitement efficace .

 

[3] La campagne officielle de culpabilisation des enfants est criminelle (embrasser sa mamie c’est la tuer), voir un premier ministre déclarer publiquement que sa propre fille de 11 ans est responsable de sa contamination nous laisse coi (comment a-t-elle pu vivre cela,  très largement médiatisé ?) et l’on comprend que depuis le départ des campagnes officielles ce qui est visé c’est la population infantile, en poussant les familles à faire subir l’injection à des enfants pour qui la balance bénéfice-risque est totalement défavorable, sous prétexte de protéger les personnes à risque, bref qu’il faudrait mettre une épée de Damoclès sur leur avenir pour protéger un peu plus les dernières années de nos anciens. Or ceux-ci sont les premiers à dire, en gardiens d’une société civilisée : c’est à nous de prendre  les éventuels risques, qui ne sommes plus en âge de procréer, pas à eux, qui sont notre avenir. » Enfin on reconnait aujourd’hui que la vaccination ne freine pas les contaminations, donc que tout cela n’a plus aucune raison, si ce n’est d’abonner nos enfants à des injections expérimentales pluri-annuelles- à vie ?, avec rentes de bénéfices assurés, sur des décennies, pour le labo qui a trusté le marché.

 

[4] Il semble opportun selon des médecins de ville qui suivent leurs patients vaccinés de faire vérifier régulièrement le taux de D-Dimères pour prévenir les dégâts bien souvent irréversibles d’un épaississement du sang,  la CRP pour vérifier qu’il n’y a pas d’inflammation, la CPK pour dépister d’éventuelles lésions d’organes, la troponine si suspicion de problème cardiaque, le ferritine qui peut trahir la présence de métaux dangereux pour l’organisme.

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